On m'a déjà dit plusieurs fois que mon sourire pouvait être pénible.
Parce qu'il peut être frustrant de voir quelqu'un toujours sourire quand on n'en fait pas autant.
Je ne m'étais pas formalisée, je réponds toujours - en mon for intérieur - que c'est une question d'état d'esprit, que c'est aussi très pratique, et que les autres n'ont qu'à en faire autant ou ne pas regarder mon visage si ça les dérange.
Voilà que je m'interroge sur ma patience.
Peut-on être excessivement patient, et la patience de l'un peut-elle être vecteur de stress chez l'autre ?
Je me souviens de moi, beaucoup plus jeune, et de mon agacement face à un de mes amis que je trouvais excessivement zen, à tel point que parfois, son calme me rendait folle.
Je ne me suis jamais représentée comme un modèle de calme. Loin de là.
Peut-être néanmoins qu'on peut ne pas être calme tout en étant d'une (trop ?) grande patience.
Bon, bref, je me pose des questions métaphysiques, mais dont les réponses ne sont pas d'une importance capitale.
Sur ce, je retourne à mon boulot qui tendrait presque à me faire perdre patience...
Tu t’en vas …
Il y a 10 mois
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