mercredi 11 juin 2008

Hum...

Suis pas jalouse, il ne faut pas se méprendre. Je ne suis pas amère non plus.
Enfin dans l'idéal, je ne suis rien de tout ça.
Et puis j'aime ma boîte mail et j'aurais du mal à imaginer vivre sans elle. Mais elle me pond de ces nouvelles parfois qui ... comment dire.... me font ressentir que tout le monde n'est pas logé à la même enseigne...
Oui, toujours la même chose, je sais, tant pis.
Une amie annonce ce matin sa deuxième grossesse (le premier n'a pas encore 2 ans), photos de l'écho à l'appui, à une liste de destinataires d'environ 100 personnes.
Sachant que lorsque je l'ai vue en mars, elle m'avait dit qu'elle pensait arrêter la pilule le mois suivant pour faire le 2ème, qu'elle est enceinte de deux mois, vous comprenez aisément que.... ben..... mouais...
Après tout, ça a marché au premier cycle pour le 1er, pourquoi ça ne serait pas pareil pour le deuxième...

Là où je suis fière de moi, c'est qu'il m'a fallu moins d'un quart d'heure pour réussir à lui envoyer un petit message de félicitations. Là où la dernière fois ça m'avat pris plusieurs jours.
Je progresse, oui oui.

Mais ça fait réfléchir aussi : l'amie en question est tout aussi "mince" que moi. Enfin je parle de moi l'an dernier, parce qu'entre temps, j'ai pris 5 kg, parce qu'un doc m'avait gentiment suggéré que si j'avais un peu plus "d'amplitude", ça ne ferait sûrement pas de mal... Sans compter que trois mois de traitement au clomid cet hiver ont été radicaux...
Je ne suis toujours pas grosse, entendons-nous bien. Je suis toujours mince. Je suis juste... moins mince. Je n'aime pas dire maigre, parce que pour moi, quelqu'un de maigre, c'est quelqu'un dont les bras sont décharnés, qui a les joues creuses, dont les genoux ont l'air gros par rapport au reste des jambes, bref, je ne suis pas comme ça.
J'ai des muscles, de la graisse, même de la cellulite, enfin bref.

Dans sa liste d'envoi, je note particulièrement deux de mes amies. L'une a fait une fausse couche il y a deux mois, l'autre essaye vainement de faire son deuxième enfant depuis 3 ans.
Qu'ont-elles ressenti en lisant ce message ? Surtout la première en tombant sur les photos de l'écho ???
Je sais qu'on ne peut pas toujours épargner les autres, et que parfois, se contenter de se réjouir pour soi sans prendre garde aux autres, ça doit faire un bien fou. Mais est-ce vraiment une telle ombre sur un bonheur tellement immense que de faire un petit mail séparé, au moins à celle qui a perdu son bébé ? Pour ne pas la mettre face à ces photos qui doivent cruellement ressembler aux dernières images qu'elle a eu de son bébé envolé ?
Et pour celle qui attend depuis si longtemps, avec tous les traitements que ça impose, les échecs d'insémination, et j'en passe, puisqu'elle sait tout ça, enfin, je ne sais pas s'il y a une "bonne" façon de lui annoncer une grossesse au premier cycle... Il me semble simplement qu'elle aurait pu avoir un peu plus d'égards.
Quant à moi, je n'ai rien à dire sur le fait d'être parmi les autres destinataires, elle ne sait même pas que nous voudrions un enfant...

Ce qui m'amène à tout autre chose.
C'est toujours drôle de voir l'idée que les gens se font de moi. Je me demande toujours comment les gens peuvent être aussi aveugles. Je suis sûrement très bonne comédienne (comme le disait mon arrière grand -mère alors que je ne savais pas encore marcher...) et encore meilleure menteuse (des années de pratique intensive avec ma mère, ça porte ses fruits).
Mais je me dis aussi que les gens se laissent aisément berner.

J'ai été pendant treize ans avec quelqu'un que personne n'avait jamais vu. Ca n'a jamais choqué personne. Ou si peu. Entre temps, c'est vrai qu'il m'arrivait de réfugier ma peine dans d'autres bras. Mes "amis" en ont toujours déduit que j'avais des moeurs légères (d'ailleurs l'une d'entre eux m'a carrément dit un jour sans vouloir me blesser le moins du monde que j'étais un peu salope)....
Dans notre groupe d'amis, j'étais "la jolie". Alors j'étais forcément celle qui avait la vie la plus facile. Parce que c'est bien connu, quand on est beau, on n'est pas malheureux. Ca ne va pas ensemble.
Et quand on est beau, on ne se plaint pas d'avoir des peines de coeur, parce qu'on n'a qu'à claquer dans les doigts, et on trouve des épaules pour se consoler.
Il faut dire que j'ai apporté de l'eau à leur moulin avec mon éternel sourire. C'est vrai que dès le matin, je chantonne. C'est vrai que quand nous allions en cours à vélo, je chantais, qu'il fasse 30° ou -15.
C'est vrai que pour couronner le tout, j'avais toujours de bons résultats sans beaucoup travailler.
J'ai de la chance de ce côté là, je le reconnais, et j'en suis reconnaissante. BEAUCOUP.
C'est vrai aussi que quand on me demande comment je vais, je réponds toujours que je vais très bien. Et j'en ai l'air. Quoiqu'il se passe.
Et si vraiment je ne vais pas bien et que ça se voit, alors c'est que c'est tellement terrible que je ne sors pas de chez moi, donc personne ne le voit, personne ne le sait.

Je n'en veux donc à personne de ne voir de moi que ce que je veux bien leur montrer.
Il me semble néanmoins que quand on se dit l'ami de quelqu'un, on ne s'arrête pas à ce que l'autre veut faire croire...

Et comme il y a une personne, une seule, qui soit allée au-delà de tout ça, alors même que je ne la connaissais que depuis quelques semaines, alors je sais que c'est possible. Mais maintenant que je la connais depuis si longtemps, je sais aussi ce par quoi elle est passée.
Et je me dis que finalement, il faut avoir vécu des choses moches, pour lire dans les yeux des autres ce qu'ils essayent de cacher.

On ne peut donc pas en vouloir aux gens qui n'ont jamais affronté de vrais problèmes de ne pas penser à ceux qu'auraient pu affronter les autres. D'ailleurs je ne leur en veux pas. Y a juste toujours un petit sentiment d'injustice qui vient plâner un petit moment au dessus de ma tête.

Mais voilà, le temps de l'écrire, et hop, il est reparti ;-))

Et j'en arrive à mes collègues. L'autre jour, on parlait d'une des collègues qui passe plus de temps en congé mat qu'à son bureau. Et une des mes secrétaires m'a dit "Attends, le jour où tu seras dans sa situation, on en reparlera". L'autre secrétaire a embrayé "Oh mais elle ne veut pas d'enfants, elle !". Et elle le pensait le plus sincèrement du monde. D'ailleurs sans que j'aie l'occasion de dire quoique ce soit (ce qui m'arrange beaucoup, je le concède), l'autre a continué cette discussion qui était devenue la leur, exclusivement, en disant qu'effectivement, je n'étais pas le genre à vouloir des enfants. Parce que je travaille beaucoup, que je suis très indépendante, que je suis ce genre de femme qui ne cuisine pas, qui ne s'embarrasse pas beaucoup du ménage, enfin tout ça. Je suis gentiment retournée dans mon bureau en les laissant argumenter sur cet éternel débat qui fait que les femmes qui ont une activité professionnelle comme la mienne, ben forcément, ce ne sont pas des femmes maternelles.
Ne se sont-elles jamais demandé si ce n'était pas parce que quand on devient maman, la plupart finissent par changer de métier ? Parce qu'on n'a pas vraiment le choix ? Pas que ça soit inconciliable, loin de là, mais parce que mon monde professionnel est un monde d'homme et qu'ils ne réfléchissent pas comme nous ?

18 commentaires:

Anonyme a dit…

Ouhlala, Caro, c'est une mine d'or ce billet... y en a des choses à dire... je me demande si je vais savoir faire court... si je ne vais pas faire carrément un billet/commentaire... sur mon blog...
Oui, je vais faire ça, sinon je vais trop m'étaler ici...
gros bisous....

Caro D a dit…

:)
Ca me fait penser que je te dois encore un billet suite à ton commentaire, ici, sur un autre billet.
Ca vient, ça vient, promis !
J'ai hâte de te lire ;-)

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup ton billet!!! C'est ce qui me console d'avoir eu une vie pas toujours facile, au moins grâce à ça je suis plus attentive aux autres et je m'arrête moins facilement aux apparences...
Gros bisous, Caro d! :)
Speranza

Caro D a dit…

Speranza, moui moui moui, ça console. Parfois même ça me rend heureuse. Va comprendre ;)
C'est que parfois on se sent fière d'avoir pu passer à travers tout un tas de chose !

Bisous aussi miss, et un jour, par mail... ;-))

Unknown a dit…

Chère Caro... va me falloir en faire un billet de tout ça, pour l'espoir qu'il vous donnerait peut-être? La mère de mon deuxième pesait à peine 97 livres, me faudrait convertir en kg et je suis d'une rare lâcheté, m'enfin, elle était mince, si mince... un médecin m'a dit déjà "Je vais être clair, des extra-terrestres aterriront dans votre cour avant la cygogne!"... Après je compte plus les tentatives, j'ai maintenant mon casse-pied d'amour ;-)

Anonyme a dit…

Mouais, j' y reviendrai aussi... Un projet auquel je tiens beaucoup prend forme... J' y reviens sous peu... Gros calins outre-Atlantique pour l'instant, l'écoute c' est pas si simple... Faut être fait fort pour recevoir, pour encaisser... xx

Anonyme a dit…

Chère Caro,
Quand un événement heureux arrive, faut-il le dire à tout le monde?
En tous cas, je sais que si je gagnais au Loto, j'essaierais de ne pas ébruiter la chose.
Quand un événement malheureux vous tombe sur la tête, faut-il le dire à tout le monde?
Je sais qu'il existe des gens qui se délectent des malheurs des autres... J'essaie donc de cacher ces choses aussi.
Conclusion: j'essaie de parler le moins possible de ma vie personnelle. Mais je comprends que d'autres personnes aiment les "confessionnaux de groupe" car nous sommes tous différents. C'est une question d'être introverti ou communicatif.
Amitiés

Caro D a dit…

@ Alcolo : alors moi aussi j'aurai mon casse-pied d'amour, voilà, c'est dit ;)
Merci !

@ Mandoline : hâte de voir ce projet se réaliser ! Merci pour le reste : finalement, les câlins, même virtuels, ça fait un bien fou :-)
Pour ce qui est de recevoir, encaisser, tout ça... cf. notre cher Alcolo...

@ Armand : Cher Armand : c'est bien parce que je pense comme toi dans la vraie vie, c'est bien parce que sous des dehors trompeurs, je suis très introvertie avec les gens que je côtoie, que je viens ici pour me libérer de ce qui tourbillonne en moi.
Donc les nouvelles de ma vie privée restent en général dans mon coeur et celui de mon homme, autant que faire se peut. J'ai aussi du mal avec les gens qui racontent leur vie sans pudeur. Mais je me réjouis d'avoir cet espace d'anonymat pour pouvoir dire ce qui me chante sans conséquence.
Et si des gens passent par ici et se réjouissent de mes malheurs, ben franchement, grand bien leur fasse ;-)

Caro D a dit…

Euh, j'allais oublier, encore un petit mot pour monsieur l'Ex : si billet il doit y avoir, alors tu te doutes que je m'en réjouirai. Mais y a pas de FALLOIR qui tienne, hein, tu sais bien...;-)

vegekat a dit…

Hummm ... Tu sais que je te comprends entièrement quand tu parles que personne n'arrive à voir quand tu ne vas pas, puisque tu le caches à merveille. Je le comprends, puisque je suis comme ça ! Seul mon chum me connaît vraiment, et encore, il y a bien des choses que je ne peux exprimer ...

Mais s'il y a une chose que j'ai compris avec le temps, c'est qu'on ne peut pas en vouloir aux gens. C'est notre responsabilité de dire aux gens nos émotions, on ne peut pas s'attendre à ce qu'il devine. Certains sont plus doués que d'autres pour voir nos états d'âmes, mais ce sont des exceptions. Et pour tous ceux qui nous croient sur parole quand on leur dit que tout va bien ... Comment pourrait-on les blâmer ??

J'assume maintenant le fait que les gens n'arrivent pas à me deviner. C'est parfois une très bonne défense, mais bien sûr, j'aimerais tellement parfois qu'on me réconforte ou qu'on "m'épargne" sans que j'aie à le demander ... Mais ça ne fonctionne pas comme ça. Certains sont des livres ouverts, moi ainsi que tu sembles l'être sommes des livres fermés, à nous seul le pouvoir de les ouvrir un peu plus ...

Bref, je te comprends et j'ai envie de te faire un gros câlin :-)

Caro D a dit…

@ Vegekat : wow, ben je le prends avec plaisir ce gros câlin :-)

Pour le reste... Tu as tout à fait raison, on ne peut pas en vouloir aux autres de ne pas voir ce qu'on ne veut pas leur montrer... Donc je n'en veux à personne me concernant.
En revanche, je continue de reprocher aux autres de ne pas faire plus attention quand ils "savent". Parce qu'envoyer une photo d'échographie à quelqu'un dont on sait qu'elle vient de perdre son bébé, on dira ce qu'on veut, mais c'est horrible.

J'en reviens aux livres fermés que nous sommes, et au pouvoir que nous avons de les ouvrir... Pas simple... Dès que j'en montre une page, j'ai l'impression que le monde entier me hurle de vite refermer le tout. Mais je suis là, c'est déjà un premier pas ;-)))

Merci en tout cas :-)

Odile a dit…

Bonjour Caro....premiere visite sur ton blog....et je fais des bonds de 3 mètres en lisant !!! Je pense effectivement que ton amie aurait pu faire des mails approprié pour annoncer sa grossesse.....et que de courage d'avoir pu y répondre. Moi j'aurais pas pu !!! Depuis 5 ans qu'on essaye d'avoir un enfant j'ai jamais pu "féliciter" quelqu'un pour sa grossesse....j'y arrive pas je sors toujours un "c'est bien"...voire un "c'est bien j'suis contente pour toi" si c'est une très bonne amie....mais plus je peux pas !!Par contre quand j'ai en face une femme qui n'arrivait pas à avoir d'enfant et qui m'annonce sa grossesse alors là je suis toute enchantée avec des "c'est génial félicitations",c'est bizarre. Quand au fait de ne pas en vouloir aux gens qui n'ont jamais eu de graves problèmes....j'ai du mal aussi quand ils vous sortent des trucs abérants alors qu'ils connaissent la situation....par rapport à notre désir d'enfant j'ai des exemples à la pelle....mais je passe dessus. Mais quand on sort "oh t'as de la chance toi de te reposer l'après midi" de la part de quelqu'un qui sait très bien que j'ai eu un grave accident et que depuis on ne me laisse travailler que le matin à cause de mes séquelles alors là je bondis telle une lionne et je hurle!!! Enfin bon je dois devenir de moins en moins compréhensive ! En tout cas je vous souhaite que votre désir de maternité soit comblé le plus tôt possible.

Caro D a dit…

Bienvenue Odile ! J'ai hâte d'aller faire un tour par chez toi. En attendant, merci d'être venue ici !
Tu sais, si j'ai réussi à la féliciter malgré tout, c'est qu'elle ne sait pas que nous essayons d'avoir un bébé. Alors même si sa façon de faire est à blâmer envers les deux autres, ben envers moi, elle ne peut pas savoir.
Comme toi, quand une femme rencontrée au hasard de mes balades virtuelles a eu des difficultés à être enceinte, c'est avec elle que je me réjouis, du plus profond de mon coeur, j'en ai déjà parlé ici.
Pour les autres, une fois le petit moment de dépit passé que ça ne soit pas moi, je suis capable de faire un petit mot sympa par écrit, mais de vive voix, autant dire que c'est autre chose...
Quant aux grossesses de certaines, elles me rendent malade. J'en ai parlé aussi. Ce n'est pas la grossesse en elle-même, mais ce qui l'accompagne. Surement que j'en parlerai plus longuement dans le billet réponse à Véro. Parce qu'il y en a des choses à dire, même si toutes ont déjà été dites si souvent.
Quant aux réflexions dont tu parles sur ton bonheur de pouvoir profiter de ton après-midi, ai-je besoin de préciser que je bondis avec toi ???
A très bientôt !

Et merci Véro ;-)

Anonyme a dit…

Je trouve ça toujours délicat ce genre de situation, car d'un côté je trouve un peu triste de devoir freiner le bonheur de quelqu'un et de l'autre je comprends qu'il puisse être difficile d'être confronté à notre chemin différent.

Autant elle a le droit de crier son bonheur de la façon qui lui plait, autant vous avez droit de dire que ça vous fait un petit (ou un gros) pincement.

Ceci dit, tu as tout à fait raison, les gens ne s'attardent pas à savoir si vraiment la personne devant eux va réellement bien.

Moi on m'a dit récemment qu'on ne pensait jamais que j'aurais des enfants... euh... ok... faut avoir l'air de quoi pour rentré dans la catégorie de celles qui paraissent en vouloir???

Je te fais une grosse colle, même si je ne comprends pas vraiment ta situation, je compatis tout de même.

Caro D a dit…

Coucou Madame Cornue !
Oh je ne voudrais pas que les gens freinent leur bonheur, et surtout pas pour moi, c'est pour ça que moi, je ne dis rien, je me sentirais trop mal autrement. Et je ne vais pas dire non plus que ça me fait un pincement au coeur, ça, je le garde pour mes lecteurs d'ici ;-)
Mais je ne peux m'empêcher de penser à ce qu'a ressenti celle qui avait perdu un bébé juste avant, et qui en avait parlé à la première...
Mais je te rejoins sur le fait que personne ne devrait freiner son bonheur, mais tu sais, le jour où moi aussi je ressentirai cet immense bonheur, ça ne l'altèrera en rien de prévenir différemment à celles qui ont du mal. J'aurai un pincement au coeur pour elles si elles ne m'ont pas précédées, mais ça ne me rendra pas moins heureuse pour autant. Et puis il y a façon et façon. Ta façon à toi n'a jamais été... comment dire... blessante.
Bon, je sens qu'il faut que j'écrive cet autre billet, j'ai du mal à faire court !
Merci pour la grosse colle, elle fait chaud au coeur :-)

Mona a dit…

Hello !
Premier commentaire sur ton blog que je trouve fort sympathique :)

Je comprends complètement ton sentiment. Je suis maman de 2 enfants et je fais partie de celle qui sont jusqu'ici en tout cas, trés féconde.

J'ai peu d'amies qui ont des enfants mais évidement je ne me vois pas hurler mon bonheur à la face de celles ( et je pense en particulier à une) qui ont du mal à concevoir, qui n'ont pas trouvé le papa idéal etc. Effectivement un petit mai séparé n'aurait pas été très fatiguant. Mais il faut y penser et la gaffe est vite arrivée parfois.

voilà
biz

Mona a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Caro D a dit…

Bienvenue Mona !
Les gaffes involontaires, qui restent juste des gaffes, moi je les pardonne sans le moindre mal. Mais je reconnais que ça passe parfois beaucoup plus mal auprès de certaines !
Merci pour ta visite :-)