Chère Caro, Comme j'ignore si c'est un voeu, un essai, une réussite ou autre chose (je ne comprends pas la langue de la chanson ni les choses que tu dis à demi-mot), je préfère parler de généralités. Une question que je me pose est: la "sacralisation" du chirurgien due à son pouvoir de vie et de mort, ne joue-t-elle pas un rôle dans le choix de telles études? En effet, la chirurgie est la seule discipline ou des "coups et blessures" sont vénérés et non pas punis! Amitiés
Oh, Armand, je t'adore ! Enfin pardon, hein, je m'égare, mais voilà, c'est comme ça ! Tu vois, je m'attendais à une réflexion sur l'aspect guimauve, cucul et fleur bleue de ce billet, et puis me voilà avec un questionnement sur ce qui mène à choisir des études de chirurgien. Tu es incroyable !
Bon, alors la chanson, c'est un monsieur qui dit à sa belle qu'elle est son grand amour, et il explique pourquoi. Tu imagines bien qu'elle est la plus merveilleuse.
Mais ce n'est pas ça qui t"intéresse, alors j'en viens à ta question. J'ai quelques soucis avec tout ceux dont le nom est précédé d'un Dr. Donc souvent débattu de ce qui mène à des études de médecine, puis, à des spécialisations. Ce pouvoir, mais aussi la rémunération qui l'accompagne inévitablement, sont sans aucun doute les principales raisons d'une grande partie de ceux qui en arrivent là. Il y a des vocations. Bien sûr. Mais à peu près autant que chez les fonctionnaires dans les administrations. Bref, ça mériterait une loooooongue discussion tout ça. Là, en l'occurrence, ça voulait juste dire que j'aime mon charlatan d'amoureux, et qu'il fait beaucoup de bien à ma vie.
Ah, j'ai regardé "27 robes" cette nuit. Je suppose que ça a un peu déteint sur moi ce romantisme cucul la praline :-)))
La trentaine bien entamée, un chéri en or, un amour de petit garçon, une belle maison, un chat tout doux, un boulot qui me plaît de moins en moins, une famille de m..., et un blog !
4 commentaires:
Chère Caro,
Comme j'ignore si c'est un voeu, un essai, une réussite ou autre chose (je ne comprends pas la langue de la chanson ni les choses que tu dis à demi-mot), je préfère parler de généralités.
Une question que je me pose est: la "sacralisation" du chirurgien due à son pouvoir de vie et de mort, ne joue-t-elle pas un rôle dans le choix de telles études?
En effet, la chirurgie est la seule discipline ou des "coups et blessures" sont vénérés et non pas punis!
Amitiés
Oh, Armand, je t'adore !
Enfin pardon, hein, je m'égare, mais voilà, c'est comme ça !
Tu vois, je m'attendais à une réflexion sur l'aspect guimauve, cucul et fleur bleue de ce billet, et puis me voilà avec un questionnement sur ce qui mène à choisir des études de chirurgien.
Tu es incroyable !
Bon, alors la chanson, c'est un monsieur qui dit à sa belle qu'elle est son grand amour, et il explique pourquoi. Tu imagines bien qu'elle est la plus merveilleuse.
Mais ce n'est pas ça qui t"intéresse, alors j'en viens à ta question. J'ai quelques soucis avec tout ceux dont le nom est précédé d'un Dr. Donc souvent débattu de ce qui mène à des études de médecine, puis, à des spécialisations.
Ce pouvoir, mais aussi la rémunération qui l'accompagne inévitablement, sont sans aucun doute les principales raisons d'une grande partie de ceux qui en arrivent là. Il y a des vocations. Bien sûr. Mais à peu près autant que chez les fonctionnaires dans les administrations.
Bref, ça mériterait une loooooongue discussion tout ça.
Là, en l'occurrence, ça voulait juste dire que j'aime mon charlatan d'amoureux, et qu'il fait beaucoup de bien à ma vie.
Ah, j'ai regardé "27 robes" cette nuit. Je suppose que ça a un peu déteint sur moi ce romantisme cucul la praline :-)))
Mais non c'est pas cucul la praline, c'est trop mignon!!!!
bisous!
Merci Véro :-)))
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